En France, une attaque par déni de service (DDoS) peut avoir de graves conséquences judiciaires.
Le Code pénal prévoit jusqu’à 5 ans de prison et 150 000 euros d’amende.
Quand elle vise un service de l’État, les sanctions passent à 7 ans de prison et 300 000 euros d’amende.
Ces sanctions n’incluent évidemment pas les dommages et intérêts que les victimes de l’attaque pourraient réclamer, au titre du préjudice, notamment matériel.